dimanche 31 juillet 2011

petit album photo...

Allez, lors de notre mariage, notre photographe, Romain BARBEROT, a fait une petite séance photos de la maison, cave, vignes... je suis fan alors... vous en fait profiter ! just enjoy it !


































jeudi 28 juillet 2011

Véraison... 3 semaines d'avance ?

ça y'est c'est la véraison dans mes vignes, je viens de voir le premier grain rougir le 26 juillet dans ma syrah. L'année dernière c'était autour du 15 août d'après l'ancienne propriétaire... sans commentaire !
 Benoît

lundi 25 juillet 2011

Agrandissement de la cave : première étape, une dalle en béton de chaux

Ma cave est un peu petite... Je profite d'un peu de répit que me donne la vigne pour agrandir ma cave : il y a une terrasse au dessus de l'entrée de ma cave actuelle, je vais en profiter.
Première étape : couler une dalle. Mais il faut préparer le terrain :

Je commence par deux jours de marteau piqueur pour infléchir la pente du terrain vers l'extérieur... le rocher est vraiment dur...
pour l'évacuation des gravats... environ 2 m3 soit 3 tonnes de gravats
vive la chenillette (baptisée moto-charette par mon père)!!!


ensuite, il faut créer des plots pour avoir une dalle de niveau ou plutôt avec une petite pente... pour favoriser l'évacuation de l'eau (utilisée pour le lavage des cuves et tonneau et autre...
oEnfin, on coule le béton, c'est le plus rapide (une demi journée). Heureusement que mon frère Bertrand m'a donné un coup de main. Pendant que je met le béton en place (encore gràce à la moto charette utilisée là comme brouette), Bertrand prépare le béton. Il a pelleté quelques 2, 5 tonnes de matériaux dans la matinée...
Et voilà, c'est fini. Après, il faudra faire quelques finition, éventuellement ajouter l'électricité et pourquoi pas la lumière. Mais d'abord on posera une porte de garage.

 Allez, j'attends toujours vos commentaires pour les étiquettes. 
A bientôt
Benoît






dimanche 24 juillet 2011

Nouvelles étiquettes en exclusivité : donnez votre avis

Bonjour à tous,

Je suis en pleine création de mes nouvelles étiquettes. Je voudrais les moderniser un peu tout en gardant l'esprit des premières éditées en 2010. Alors à vos claviers, j'attends vos critiques sur les nouvelles idées que je vous soumets. Je vous mets le millésime 2009 en comparaison.
millésime en bas

 J'ai changé : la police de "Benoît ROSEAU", enlevé le degré et la contenance (qui apparaissent sur l'étiquette latérale non représentée ici) et ajouté le cadre de couleur jaune pour les blancs, rouge pour les rouge...
millésime en travers
 L'image a été retravaillée également (couleurs plus vives)



ancienne étiquette millésime 2009
 Et pour le Saint-Joseph, ça donne ça :
saint joseph nouvelle version
saint joseph 2008
là, j'ai aussi changé la police de l'appellation.
Dites moi aussi si vous préférez le millésime de travers ou bien en dessous de l'image ou bien... autre chose !

 Pour comparer avec la version 2008
Allez, je vous laisse, j'attends les commentaires, je commande dès demain matin les étiquettes.
A bientôt

Benoît

lundi 18 juillet 2011

Les vignerons en balade !!!

outre la vigne et le vin, il y a une autre chose qui me tient à coeur et c'est d'ailleurs la seule qui arrive à me faire oublier ma vigne et mes bouteilles : la montagne. Et aujourd'hui, nous revenons, avec Juliette d'un très très beau voyage en altitude.
Parti du bout du monde, le temple de l'alpinisme, c'est à dire La Bérarde, nous voilà en route pour le refuge Temple Ecrin, au pied de la Barre des Ecrins et du Pic Coolidge, où nous allons passer trois jours sous la tente.

Avant
Après trois jours de marche et une partie de Yams
 C'est à dire trois jour en dormant mal ou pas du tout, à se lever à 3h45, à marcher entre 2h30 au moins et 10h selon le programme et à manger des soupes en poudre et de la semoule à la soupe en sachet. Et oui, la montagne, c'est comme la vigne, c'est exigeant, il faut se bouger pour arriver à un résultat... mais là, la chance était avec nous : météo magnifique pendant deux jours. Seuls quelques nuages nous annonçaient le déluge de dimanche (un éboulement sur la route reliant la Bérarde au monde nous a bloqué pendant quelques heures, ce qui nous a permis de participer à la fête des guides, trempés jusqu'à la moelle).

Juliette, qui partage maintenant mes deux vies de vigneron montagnard a été magnifique de courage et de ténacité. Faut dire qu'elle a le physique (on dit la caisse).





Bon, là, c'est 6h du mat à 3000 et l'acclimatation n'est pas encore là...

Petite mer de nuage avec Les Ruys en ligne de mire...






Juliette avec la face nord de l'Ailefroide dans le dos. Il ne faut pas trop que je la pousse, sinon, je n'arriverai bientôt plus à la suivre...






Ici, à droite, 3700 m environ... on ne va pas au sommet qui se trouve à 100m mais il faut passer un mauvais pas... on redescend... les points noirs sur la neige ? des alpinistes... bien lointains...




Pour le Pic Coolidge. Lever 3h45, départ 4h40, retour à la tente à 15h... avec quelques petites pauses mais pas trop pour tenir l'horaire que nous n'avons pas tenu d'ailleurs...
Le soir, on a eu du mal à imaginer repartir le lendemain, on était tentés de redescendre à la Bérarde.

Mais bon, on avait monté les sacs pour quatre jours alors le lendemain, reposés, nous voilà repartis pourle Col des avalanches, 3499 m que nous atteignons vers 12h.

La Patagonie est à l'honneur !





Le Vénéon est en furie !!!










le dimanche, retour à la Bérarde sous l'orage...

Aller, après ce petit intermède glaciaire, il va falloir que je coule ma dalle dans ma cave (j'agrandis)
Alors à bientôt

Benoît

mercredi 6 juillet 2011

Saint Péray 2010 : il n'y en aura pas pour tout le monde

C'est une grande fierté de vous présenter mon Saint-Péray 2010. Pour cela, rien de tel que de vous retranscrire le commentaire de dégustation que j'ai reçu ces jours :


Couleur profonde à la teinte dorée à reflet vert . Nez intense qui développe un bouquet capiteux et confit poursuivi et souligné par des notes épicées et boisées :
Vanille , moka et musc , aubépine , pêche et fruits confits , pain d'épices.
Bouche ample, chaleureuse et suave qui échappe à la langueur par la grâce d'une présence minérale ciselée.

Quoi de mieux ? Je viens de faire déguster au Cercle des Vignerons à Ampuis à quelques amateurs dont Christophe Bonnefond dont la réputation n'est plus à faire et mon Saint-Péray a été... comment dire, je n'ai pas les mots... enfin bref, c'est bon quoi !!! et j'ai RDV au Cercle lundi pour affaires...

Aller, je vous laisse méditer la dessus, il n'y en aura pas pour tout le monde !

A bientôt

Benoît